Oui dans de rares cas d’hypotrophie mammaire très severe voire d’agénésie mammaire. Vous serez dans ce cas convoquée par un médecin conseil de la sécurité sociale qui decidera après vous avoir examinee.
Non, l’allaitement est a priori possible après la mise en place d’implants, quelle que soit la voie abord et la position de la prothèse.
La mise en place de prothèse mammaire ne pose pas de probleme pour la surveillance de votre glande mammaire.
Il n’y a pas de règles. La durée de vie de moyenne varie entre 10 et 15 ans. Quoiqu’il en soit un examen Clinique de votre poitrine doit avoir lieu une fois par an. A partir de la 10 ème année, il faut commencer à pratiquer une imagerie des prothèses pour rechercher des signes de rupture.
Non, des radiologues spécialisés dans l’imagerie mammaire savent bien faire la distinction entre une calcification liée à l’injection de graisse et une calcification suspecte.
Il est aujourd’hui difficile de donner une réponse formelle en raison de l’absence de recul suffisant. Mais les derniers travaux dans le domaine avec plus de 10 ans de recul tendant à montrer que le risque de cancer du sein n’est pas augmenté par l’injection de graisse. D’ailleurs les sociétés savantes qui ne cautionnaient pas cette pratique il y a encore quelques années, l’autorisent depuis 2011 au-delà de 35 ans, et l’autorisent sans restriction d’âge depuis quelques mois. Une surveillance par imagerie mammaire régulière est indispensable. Cette technique reste contre-indiquée en cas d’antécédents familiaux ou personnels de cancer du sein ou d’anomalie sur le bilan d’imagerie nécessitant un contrôle.
La graisse injectée va évoluer comme le reste du tissue graisseux et sera donc sensible aux variations de poids.
Oui, la prise en charge est envisageable si le volume à retire rest supérieur à 300 grammes par sein, ce qui est souvent le cas lorsque vous êtes amenée à consulter.
En général oui, mais selon la technique utilisée (choisie en fonction du volume et de la souplesse de la glande mammaire), les canaux galactophoriques sont sectionnés, rendant l’allaitement impossible.
La réduction mammaire ne pose pas de probleme pour la surveillance de votre glande mammaire.
